Synopsis
Un éminent professeur de phonétique rencontre, près de Covent
Garden à Londres, une fort jolie petite marchande de fleurs. Il décide
d'en faire une grande dame.
Ce que j'en ai pensé
Ce film sorti en 1964 se passe, en fait, aux alentours de 1910. Nous devons d'abord nous replacer dans le contexte spatio-temporel : Londres, l'âge industriel, les suffragettes, l'aristocratie anglaise... Ceci ne vous rappelle-t-il pas un autre film qui date de la même année ? Non ? Bon, très bien, continuons. My Fair Lady est une comédie musicale. Alors toujours rien ? Mais voyons, je pense bien-sûr à Mary Poppins ! Même cadre spatio-temporel, même société donc, mêmes types de costumes, la ressemblance va jusque dans certains détails : vous retrouvez par exemple la danse des pingouins. De plus, tout comme Mary Poppins, le film a reçu plusieurs prix (7 prix pour My fair Lady, 3 pour Mary Poppins).
Toutefois, ici, nous avons une autre histoire : une jeune marchande de fleurs au parler grossier va devenir en six mois une vraie lady sous la houlette du professeur Higgins, professeur de phonétique.
Notre petite marchande de fleurs nommée Eliza Doolittle est jouée par la merveilleuse Audrey Hepburn. Un peu sauvage mais honnête, c'est une brave fille rêveuse et pleine d'espoir que rencontre le professeur Higgins. La jeune marchande a un caractère assez difficile et exige qu'on la respecte quelque soit sa condition. Chose qu'Henry Higgins, célibataire farouche, égoïste, misogyne et prétentieux ne semble pas comprendre. Finalement le professeur lui-même nécessitera quelques leçons : Eliza devra lui inculquer humilité et respect.
Même si le film est dominé par ces deux personnages, nous avons des personnages secondaires très intéressants et attachants comme par exemple le père de la jeune fille, un ivrogne paresseux au discours hilarant qui, par un concours de circonstances, va devenir un bourgeois.
Même si le film est dominé par ces deux personnages, nous avons des personnages secondaires très intéressants et attachants comme par exemple le père de la jeune fille, un ivrogne paresseux au discours hilarant qui, par un concours de circonstances, va devenir un bourgeois.
Ainsi, My Fair Lady est une histoire à propos de rêves d'élégance et de distinction. Le film accompagne une femme qui s'émancipe et qui, grâce à une éducation de lady, de petite marchande de rue devient une véritable dame du monde. Ce film est aussi une histoire de respect. Il nous montre que chacun a quelque chose à nous apporter et que le rang social n'exclut pas certaines valeurs morales. Enfin, My Fair Lady est bien-sûr une histoire d'amour. J'ai donc beaucoup aimé ce film drôle, rêveur et émouvant ; seule la réplique de fin m'a un peu énervée par son machisme...
Synopsis
A misogynistic and snobbish phonetics professor agrees to a wager that
he can take a flower girl and make her presentable in high society.
Ce que j'en ai pensé
This film out in 1964 occurs around 1910. We must first imagine ourselves in the spatio-temporel context : London, the industrial age, the suffragettes, the English aristocracy... Does it ring a bell? A film which dates from the same year... No? Ok, we keep going. My Fair Lady is a musical. No, nothing? But this is Mary Poppins of course! Same spatio-temporal framework, same society, same clothes, even some details are the same: you can find the dancing penguins! Moreover, like Mary Poppins, the film received several prizes (7 for My Fair Lady, 3 for Mary Poppins).
However, the story is different: a young flower seller which speaks rudely is going to become a real lady in six months under the leadership of Henry Higgins, a phonetics professor.
The young woman called Eliza Doolittle is played by the marvelous Audrey Hepburn. Quite uneducated but honest, it's a good and dreamy girl full of hopes who met Professor Higgins.
The young woman called Eliza Doolittle is played by the marvelous Audrey Hepburn. Quite uneducated but honest, it's a good and dreamy girl full of hopes who met Professor Higgins.
She has real character and she claims for respect even if she is of poor condition. Henry Higgins, Chose qu'Henry Higgins, a selfish, mysogynistic and pretentious single man doesn't seem to understand this. Finally, the professor himself will be taught a few lessons: Eliza Finalement le professeur lui-même nécessitera quelques
leçons : Eliza will have to teach him humility and respect.
Even though the film is dominated by these two characters, there are interesting and endearing secondary characters such as Eliza's father, a lazy drunkard with a hilarious speech who, by a combination of circumstances, will become a bourgeois.
To conclude, My Fair Lady is a story about dreams of elegance and distinction. The film follows a woman who emancipates and who, thanks to a strict education, from a poor flower seller becomes a real lady. This film is also a story of respect and shows us that everyone can brought us things and that the social status doesn't exclue certain values. Eventually, My Fair Lady is a love story. I really loved this funny, dreamy and mooving film, only the end reply upsets me with his machismo.
To conclude, My Fair Lady is a story about dreams of elegance and distinction. The film follows a woman who emancipates and who, thanks to a strict education, from a poor flower seller becomes a real lady. This film is also a story of respect and shows us that everyone can brought us things and that the social status doesn't exclue certain values. Eventually, My Fair Lady is a love story. I really loved this funny, dreamy and mooving film, only the end reply upsets me with his machismo.
Je l'ai vu et j'ai adoré!
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