RESUME
Un voyage au coeur d'une des régions les plus sauvages de la planète sur les traces d'une cité mythique et d'une civilisation disparue.
Bienvenue dans l'impénétrable jungle de la Mosquitia, dans le nord-est du Honduras. C'est là que s'est aventuré le romancier et journaliste Douglas Preston aux côtés d'une équipe de scientifiques pour lever le voile sur l'un des derniers mystères de notre temps : la fameuse Cité blanche, ou Cité du dieu singe, qu'évoquait Hernán Cortès au XVIè siècle et que personne à ce jour n'avait réussi à localiser.
Ancienne malédiction, jaguars et serpents mortels, parasites mangeurs de chair et maladie incurable, controverse scientifique... Ce récit digne des aventures d'Indiana Jones et riche d'enseignements sur la plus importante découverte archéologique de ce début de XXIè siècle remet en perspective ce que l'on croyait savoir des civilisations préhispaniques, à l'heure où la mondialisation et le réchauffement climatique menacent de condamner notre monde au sort tragique de cette cité mystérieusement disparue.
CE QUE J'EN AI PENSE
Ne vous laissez pas avoir par le résumé excitant de ce livre. J'espérais m'évader dans une aventure à la Indiana Jones. J'ai été déçue car le récit de l'expédition de l'équipe scientifique au coeur de la jungle de la Mosquitia est très court par rapport à la taille de ce livre. La première partie du livre est occupée par un historique des recherches ayant mené à la réalisation de cette expédition. L'expédition est ensuite expédiée en peu de pages (excusez le jeu de mots peu recherché). La suite du livre est un exposé sur la leishmaniose, une parasitose véhiculée par les phlébotomes qui pullulent dans la forêt hondurienne et dont une grande partie des membres de l'expédition ont été atteints. Moi qui voulais m'évader de la médecine, j'y étais à nouveau replongée. Ce livre, écrit par le journaliste Douglas Preston, est très fouillé et apporte un témoignage direct. Mais finalement, la découverte archéologique est pas autant détaillée que ce à quoi on aurait pu s'attendre et la faune et la flore de la Mosquitia peu décrites. Je suis donc restée sur ma faim. L'écrivain conclut par une mise en relation et une critique intéressante de notre monde actuel et de notre société. Néanmoins, ce n'est pas du tout ce que je recherchais et ce livre ne m'a donc pas passionnée.
SUMMARY
A five-hundred-year-old legend. An ancient curse. A stunning medical mystery. And a pioneering journey into the unknown heart of the world's densest jungle.
Since the days of conquistador Hernán Cortés, rumors have circulated about a lost city of immense wealth hidden somewhere in the Honduran interior, called the White City or the Lost City of the Monkey God. Indigenous tribes speak of ancestors who fled there to escape the Spanish invaders, and they warn that anyone who enters this sacred city will fall ill and die. In 1940, swashbuckling journalist Theodore Morde returned from the rainforest with hundreds of artifacts and an electrifying story of having found the Lost City of the Monkey God-but then committed suicide without revealing its location.
Three quarters of a century later, author Doug Preston joined a team of scientists on a groundbreaking new quest. In 2012 he climbed aboard a rickety, single-engine plane carrying the machine that would change everything: lidar, a highly advanced, classified technology that could map the terrain under the densest rainforest canopy. In an unexplored valley ringed by steep mountains, that flight revealed the unmistakable image of a sprawling metropolis, tantalizing evidence of not just an undiscovered city but an enigmatic, lost civilization.
Venturing into this raw, treacherous, but breathtakingly beautiful wilderness to confirm the discovery, Preston and the team battled torrential rains, quickmud, disease-carrying insects, jaguars, and deadly snakes. But it wasn't until they returned that tragedy struck: Preston and others found they had contracted in the ruins a horrifying, sometimes lethal-and incurable-disease.
MY THOUGHTS
Don't let yourself be fooled by the thrilling summary. I was hoping for an Indiana Jones-style adventure. I was disappointed because the story of the scientific team's expedition into the heart of the Mosquitia jungle is very short compared to the size of the book. The first part of the book is taken up by a history of the research that led to this expedition. The expedition is then dispatched in a few pages. The rest of the book deals with leishmaniasis, a parasite carried by the sandflies that swarm in the Honduran forest and that affected many of the members of the expedition. I wanted to escape from medicine, but I was plunged back into it. This book, written by journalist Douglas Preston, is very thorough and provides a first-hand account. But in the end, the archaeological discovery is not as detailed as one might have expected and the flora and fauna of Mosquitia are not described in detail. So I was left wanting more. The writer concludes with an interesting critique of our current world and society. However, this is not at all what I was looking for and I was not enthralled by this book.
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